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miércoles, 27 de noviembre de 2013

Aldito, el maldito y las elecciones del domingo


Aldito, el maldito y las elecciones del domingo 

Aldito, el maldito (no porque sea maldecido por más de la mitad de los peruanos sino porque él maldice a medio mundo, incluyendo hasta las langostas que son zurdas); al publicar su artículo, ”Brain Damage Pink Floid”, ingresa, como es su costumbre, en el pasto de la antología que rebuzna burradas a ultranza. 
Este antipático y lunático personaje, cree destilar cultura y conocimiento, a partir de un bombardeo disimulado de enunciaciones generales y, lo que nos ofrece, no es nada más que un simulacro de sabidurías, abreviadas.
Como decía Francis Bacon: « La dissimulation est la sagesse abrégée. » y de nada servirá recordarle que el verdadero conocimiento consiste en indagar sobre la extensión de la propia ignorancia...
Pero bueno, hay que dejar a cada loco en su camino y con su tema. Digamos solo de paso que citar a Roger Waters de Pink Floid, ese fanático antisemita solo para parecer “versado y cultivado”, sus modestas letras caen más bien al pelo a nuestro Aldito, el maldito, cuando señalan que:

“El lunático está en el pasto.
Recordando juegos, orgías y risas.
Hay que mantener los locos en el camino…”

En cuanto a los rojos que “votan mucho mejor mientras más alto sea el porcentaje de alcohol en su sangre”, Aldito, el maldito se parapeta en la rastrera afirmación colonial según la cual, la mejor manera de explotar al “indio” es embrutecerlo a punta de aguardiente y coca”. Lo cual no llama la atención si el personaje en cuestión, se adapta a sus propias definiciones de “Teratología y Disgenesia”. Término opuesto a la eugenesia, que es utilizado por algunos científicos para “caracterizar la selección de variables genéticas negativas. La eugenesia es una filosofía social que defiende la mejora de los rasgos hereditarios humanos mediante diversas formas de intervención manipulada y métodos selectivos del ser humano...”Lo cual, es abjecto.

sábado, 9 de noviembre de 2013

Un spectacle Hallucinant !


CONVERSACIONES
EN LA CAPILLA ARDIENTE

Victor Raul Gamarra Sotomayor

Un spectacle Hallucinant !
Je pense beaucoup à la Kristallnacht, la nuit de cristal, ce violent et abominable pogrom qui eut lieu les 9 et 10 novembre 1938, dans toute l'Allemagne, dans les territoires qu'elle venait d'annexer, et même dans les camps de concentration. Au cours de cette terrible nuit, entre 2000 et 2500 personnes ont perdu la vie, dans le fracas des vitres brisées des synagogues, magasins, centres communautaires, maisons. Partout, des immeubles appartenant à des Juifs furent mis à sac et détruits par la haine hitlérienne. Cette haine semble hélas ressusciter à Berlin et ailleurs, y compris de façon incompréhensible, du côté de la Cordillera Andina, au Pérou… où des natives portent à Lima, l'uniforme nazi et se disent proches de l'idéologie hitlérienne.

sábado, 2 de noviembre de 2013

AU PÉROU, LA CRISE ÉCONOMIQUE ENTRAÎNE UNE NOUVELLE DÉFORESTATION DE L’AMAZONIE

AU PÉROU, LA CRISE ÉCONOMIQUE ENTRAÎNE UNE NOUVELLE DÉFORESTATION DE L’AMAZONIE

Une étude américaine a révélé que la crise économique de 2008 a entraîné une nouvelle ruée vers l’OR au Pérou dont la principale victime demeure la si précieuse forêt amazonienne. 
Révélée par le quotidien anglais The Guardianune étude américaine réalisée par la Carnegie Institution for Science a  tiré la sonnette d’alarme sur l’accroissement de déforestation en Amazonie péruvienne.  La région de la Madre de Dios, située dans le sud-est du pays à la frontière avec le Brésil, est la plus touchée par ce fléau.
Les mines clandestines sont responsables d'une recrudescence de la déforestation en Amazonie péruvienne ©Andrés Huby
Les mines clandestines sont responsables d’une recrudescence de la déforestation en Amazonie péruvienne ©Andrés Huby
La crise économique de 2008 et ses effets continus en seraient la principale cause. L’Amérique Latine n’a pourtant pas souffert de la même façon que les pays industrialisés. Au début de la crise, les économies sud-américaines ont fait preuve d’une bonne résistance malgré une baisse de la croissance dans les pays (à l’époque, c’était une première en 5 ans). Le Pérou s’est rapidement relevé, il fait figure à présent de bon élève aux yeux du FMI, fort d’une croissance moyenne de 7 % ces cinq dernières années.
La cause de la déforestation vient plus précisément du marché de l’or qui n’a cessé d’augmenter jusqu’à 2013. En cinq ans, son cours a atteint des sommets (1900 dollars en septembre 2012). L’Or devient une des rares valeurs sûres en temps de crise ; une aubaine pour les orpailleurs avides d’argent. Dès lors, l’exploitation minière illégale de petite échelle explose dans la région de la Madre de Dios. La crise a amplifié le nombre d’orpailleurs de 25 000 à 100 000 en quelques années. Le Pérou est devenu le premier exportateur d’or d’Amérique Latine. Il attire les convoitises bien au-delà du continent lui-même.
Aux exploitations artisanales de bois (acajou), des élevages intensifs, de pétrole s’ajoutent dorénavant celles de l’or et des mines clandestines. Les populations indiennes locales font face à la barbarie de ces colons. Des assassinats et des disparitions ont été constatés. De nouvelles maladies se développent et un réseaude prostitution de jeunes indiennes s’est fixé pour répondre aux besoins des pilleurs de la forêt. Cette situation a été facilitée grâce à la vente par l’Etat péruvien  de 70 % de la forêt à des compagnies pétrolières.

Des conséquences néfastes pour l’écosystème

Outre les agissements indéfinissables des colons envers la population locale, l’environnement est l’autre grande victime des orpailleurs. La fièvre de l’or a engendré une augmentation de plus de 400 % de la déforestation dans la région Madre de Dios entre 1999 et 2012. Depuis 2008, on estime à plus de 6000 le nombre d’hectares de forêt détruits à cause des mines clandestines au Pérou.
L’accroissement de la déforestation pourrait aboutir à  « un désastre écologique » d’après les mots du ministre de l’environnement Antonio Brack. Les mineurs amateurs ne connaissent pas les nouvelles techniques d’exploitation et utilisent de vieilles méthodes comme celle de l’amalgamation au mercure pour séparer l’or (les deux métaux sont chauffés, le mercure s’évapore, il ne reste plus que l’or). Cette technique a de graves conséquences écologiques, les sédiments se déversent dans les fleuves ; la pollution au mercure y est très forte.
Le déboisement intensif de la forêt  provoque  une augmentation des émissions de Gaz à effet de serre. La captation photosynthétique est aussi moins importante. Enfin, des espèces rares d’animaux sont en danger à mesure que leur habitat naturel disparaît. Dernièrement, l’ONG vérité a démontré que l’exploitation de l’or au Pérou était si importante qu’elle dépasse celle de la drogue.

Une étude américaine a révélé que la crise économique de 2008 a entraîné une nouvelle ruée vers l’OR au Pérou dont la principale victime demeure la si précieuse forêt amazonienne. 
Révélée par le quotidien anglais The Guardianune étude américaine réalisée par la Carnegie Institution for Science a  tiré la sonnette d’alarme sur l’accroissement de déforestation en Amazonie péruvienne.  La région de la Madre de Dios, située dans le sud-est du pays à la frontière avec le Brésil, est la plus touchée par ce fléau.
Les mines clandestines sont responsables d'une recrudescence de la déforestation en Amazonie péruvienne ©Andrés Huby
Les mines clandestines sont responsables d’une recrudescence de la déforestation en Amazonie péruvienne ©Andrés Huby
La crise économique de 2008 et ses effets continus en seraient la principale cause. L’Amérique Latine n’a pourtant pas souffert de la même façon que les pays industrialisés. Au début de la crise, les économies sud-américaines ont fait preuve d’une bonne résistance malgré une baisse de la croissance dans les pays (à l’époque, c’était une première en 5 ans). Le Pérou s’est rapidement relevé, il fait figure à présent de bon élève aux yeux du FMI, fort d’une croissance moyenne de 7 % ces cinq dernières années.
La cause de la déforestation vient plus précisément du marché de l’or qui n’a cessé d’augmenter jusqu’à 2013. En cinq ans, son cours a atteint des sommets (1900 dollars en septembre 2012). L’Or devient une des rares valeurs sûres en temps de crise ; une aubaine pour les orpailleurs avides d’argent. Dès lors, l’exploitation minière illégale de petite échelle explose dans la région de la Madre de Dios. La crise a amplifié le nombre d’orpailleurs de 25 000 à 100 000 en quelques années. Le Pérou est devenu le premier exportateur d’or d’Amérique Latine. Il attire les convoitises bien au-delà du continent lui-même.
Aux exploitations artisanales de bois (acajou), des élevages intensifs, de pétrole s’ajoutent dorénavant celles de l’or et des mines clandestines. Les populations indiennes locales font face à la barbarie de ces colons. Des assassinats et des disparitions ont été constatés. De nouvelles maladies se développent et un réseaude prostitution de jeunes indiennes s’est fixé pour répondre aux besoins des pilleurs de la forêt. Cette situation a été facilitée grâce à la vente par l’Etat péruvien  de 70 % de la forêt à des compagnies pétrolières.

Des conséquences néfastes pour l’écosystème

Outre les agissements indéfinissables des colons envers la population locale, l’environnement est l’autre grande victime des orpailleurs. La fièvre de l’or a engendré une augmentation de plus de 400 % de la déforestation dans la région Madre de Dios entre 1999 et 2012. Depuis 2008, on estime à plus de 6000 le nombre d’hectares de forêt détruits à cause des mines clandestines au Pérou.
L’accroissement de la déforestation pourrait aboutir à  « un désastre écologique » d’après les mots du ministre de l’environnement Antonio Brack. Les mineurs amateurs ne connaissent pas les nouvelles techniques d’exploitation et utilisent de vieilles méthodes comme celle de l’amalgamation au mercure pour séparer l’or (les deux métaux sont chauffés, le mercure s’évapore, il ne reste plus que l’or). Cette technique a de graves conséquences écologiques, les sédiments se déversent dans les fleuves ; la pollution au mercure y est très forte.
Le déboisement intensif de la forêt  provoque  une augmentation des émissions de Gaz à effet de serre. La captation photosynthétique est aussi moins importante. Enfin, des espèces rares d’animaux sont en danger à mesure que leur habitat naturel disparaît. Dernièrement, l’ONG vérité a démontré que l’exploitation de l’or au Pérou était si importante qu’elle dépasse celle de la drogue.

Expulsions de Sans-papiers à Bruselles



CONVERSACIONES EN LA

CAPILLA ARDIENTE

Victor Raul Gamarra Sotomayor
http://viraugasot.blogspot.com

Drôle de façon d'envisager la gouvernance d'une commune


Les expulsions de Sans-papiers et Sans-abri sont, paraît-il, dans l’air du temps. Et lorsqu'un bourgmestre issu de l'immigration a recours à une pratique aussi sordide, tout en se proclamant "socialiste", il y a de quoi s'indigner et s'interroger. Où sont passées les valeurs prônées par les fondateurs de ce parti de gauche? Violemment écartées du débat, étouffées par les impératifs des idées en vogue du moment et les dictats de l'actualité, elles semblent avoir été noyées dans la honte.

L'ordre d'expulsion fait ainsi abstraction de façon flagrante de la situation socioéconomique désespérée de familles entières. On n'y trouve ni considération ni respect du droit de vivre dans la décence et la dignité qui est celui de chaque être humain.
Monsieur le bourgmestre n'a jamais levé le petit doigt pour améliorer les conditions d'existence des Sans-papiers et des Sans-abri de l'église du Gesu,actuellement insalubre. Il a ensuite le culot d'invoquer cette misère sanitaire pour justifier l'expulsion.
Il a également fait preuve de mauvaise foi et de grossierté en généralisant un cas isolé pour évoquer la prostitution à laquelle se livreraient les occupants de l'église. Cette attitude témoigne d'une grande inconscience et d'un évident amateurisme politique.

En outre, le silence du bourgmestre et son refus systématique du dialogue témoigne de sa volonté d'agir de façon unilatérale et autoritaire.

Pour toutes ces raisons, l'expulsion des occupants de l'église de Gezu est injuste et moralement inacceptable.
Monsieur Kir, sachez que vous n’êtes pas un Emir tout puissant ayant le droit de légiférer sans dialogue ni concertation. Le moment est venu pour vous de changer de comportement. Les Sans-papiers, les Sans-abri et le sens commun vous seront très reconnaissants, ainsi que de nombreux socialistes de votre parti