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Pêche insouciante en eaux profondes. Havane d’exportation cloué au bec. Docile aux petits soins d’une superbe blonde, le social-démocrate, Felipe Gonzalez, l'ancien chef du gouvernement socialiste (1982-1996), lance depuis son somptueux yacht des sublimes sottises à l’adresse des indignés espagnols.
« Podemos »
(nous le pouvons), le nouveau parti espagnol issu du
mouvement des « indignés » qui a été la révélation des élections européennes
avec 7,97 % des voix, a été qualifiée par Gonzalez comme une « courante
bolivarienne » qui menace de propager en Europe le chavisme vénézuélien.
Depuis la victoire
de « Podemos », les attaques sous forme de diatribes et
mensonges insupportables ont commencé à couler
a à flots. Alors que la droite affolée
faisait circuler sur Internet, les rumeurs les plus absurdes comme
l’affirmation selon laquelle le
financement occulte de « Podemos » provenaient du Venezuela et de l'Iran. El Pais, évoquait la dangerosité de cet mouvement
aux élections générales de 2015 dont sa folle
croissance, provoquerai une dispersion des voix qui rendrait le pays «
ingouvernable », tout en se rallient côte Felipe Gonzalez lorsque
il qualifie « Podemos » parmi les « utopies régressives » et mis en garde contre «
une alternative bolivarienne pour l'Espagne ou l'Europe que serait une catastrophe sans
palliatif » et produirait une « répartition égalitaire de la misère
».
Le succès
de « Podemos » est en effet exceptionnel. Présente sur les réseaux sociaux. Avec 400 000 abonnés
sur Facebook et 200 000 sur Twitter, elle
devance largement les 140 000 abonnés sur Twitter du PP ou
du PSOE. Son médiatique chef de file, Pablo Iglesias, est un professeur de
sciences politiques de 36 ans, qui fut un temps consultant pour la Gauche unie
(écolo-communistes, IU)
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