publizida.es

miércoles, 27 de noviembre de 2013

Aldito, el maldito y las elecciones del domingo


Aldito, el maldito y las elecciones del domingo 

Aldito, el maldito (no porque sea maldecido por más de la mitad de los peruanos sino porque él maldice a medio mundo, incluyendo hasta las langostas que son zurdas); al publicar su artículo, ”Brain Damage Pink Floid”, ingresa, como es su costumbre, en el pasto de la antología que rebuzna burradas a ultranza. 
Este antipático y lunático personaje, cree destilar cultura y conocimiento, a partir de un bombardeo disimulado de enunciaciones generales y, lo que nos ofrece, no es nada más que un simulacro de sabidurías, abreviadas.
Como decía Francis Bacon: « La dissimulation est la sagesse abrégée. » y de nada servirá recordarle que el verdadero conocimiento consiste en indagar sobre la extensión de la propia ignorancia...
Pero bueno, hay que dejar a cada loco en su camino y con su tema. Digamos solo de paso que citar a Roger Waters de Pink Floid, ese fanático antisemita solo para parecer “versado y cultivado”, sus modestas letras caen más bien al pelo a nuestro Aldito, el maldito, cuando señalan que:

“El lunático está en el pasto.
Recordando juegos, orgías y risas.
Hay que mantener los locos en el camino…”

En cuanto a los rojos que “votan mucho mejor mientras más alto sea el porcentaje de alcohol en su sangre”, Aldito, el maldito se parapeta en la rastrera afirmación colonial según la cual, la mejor manera de explotar al “indio” es embrutecerlo a punta de aguardiente y coca”. Lo cual no llama la atención si el personaje en cuestión, se adapta a sus propias definiciones de “Teratología y Disgenesia”. Término opuesto a la eugenesia, que es utilizado por algunos científicos para “caracterizar la selección de variables genéticas negativas. La eugenesia es una filosofía social que defiende la mejora de los rasgos hereditarios humanos mediante diversas formas de intervención manipulada y métodos selectivos del ser humano...”Lo cual, es abjecto.

sábado, 9 de noviembre de 2013

Un spectacle Hallucinant !


CONVERSACIONES
EN LA CAPILLA ARDIENTE

Victor Raul Gamarra Sotomayor

Un spectacle Hallucinant !
Je pense beaucoup à la Kristallnacht, la nuit de cristal, ce violent et abominable pogrom qui eut lieu les 9 et 10 novembre 1938, dans toute l'Allemagne, dans les territoires qu'elle venait d'annexer, et même dans les camps de concentration. Au cours de cette terrible nuit, entre 2000 et 2500 personnes ont perdu la vie, dans le fracas des vitres brisées des synagogues, magasins, centres communautaires, maisons. Partout, des immeubles appartenant à des Juifs furent mis à sac et détruits par la haine hitlérienne. Cette haine semble hélas ressusciter à Berlin et ailleurs, y compris de façon incompréhensible, du côté de la Cordillera Andina, au Pérou… où des natives portent à Lima, l'uniforme nazi et se disent proches de l'idéologie hitlérienne.

sábado, 2 de noviembre de 2013

AU PÉROU, LA CRISE ÉCONOMIQUE ENTRAÎNE UNE NOUVELLE DÉFORESTATION DE L’AMAZONIE

AU PÉROU, LA CRISE ÉCONOMIQUE ENTRAÎNE UNE NOUVELLE DÉFORESTATION DE L’AMAZONIE

Une étude américaine a révélé que la crise économique de 2008 a entraîné une nouvelle ruée vers l’OR au Pérou dont la principale victime demeure la si précieuse forêt amazonienne. 
Révélée par le quotidien anglais The Guardianune étude américaine réalisée par la Carnegie Institution for Science a  tiré la sonnette d’alarme sur l’accroissement de déforestation en Amazonie péruvienne.  La région de la Madre de Dios, située dans le sud-est du pays à la frontière avec le Brésil, est la plus touchée par ce fléau.
Les mines clandestines sont responsables d'une recrudescence de la déforestation en Amazonie péruvienne ©Andrés Huby
Les mines clandestines sont responsables d’une recrudescence de la déforestation en Amazonie péruvienne ©Andrés Huby
La crise économique de 2008 et ses effets continus en seraient la principale cause. L’Amérique Latine n’a pourtant pas souffert de la même façon que les pays industrialisés. Au début de la crise, les économies sud-américaines ont fait preuve d’une bonne résistance malgré une baisse de la croissance dans les pays (à l’époque, c’était une première en 5 ans). Le Pérou s’est rapidement relevé, il fait figure à présent de bon élève aux yeux du FMI, fort d’une croissance moyenne de 7 % ces cinq dernières années.
La cause de la déforestation vient plus précisément du marché de l’or qui n’a cessé d’augmenter jusqu’à 2013. En cinq ans, son cours a atteint des sommets (1900 dollars en septembre 2012). L’Or devient une des rares valeurs sûres en temps de crise ; une aubaine pour les orpailleurs avides d’argent. Dès lors, l’exploitation minière illégale de petite échelle explose dans la région de la Madre de Dios. La crise a amplifié le nombre d’orpailleurs de 25 000 à 100 000 en quelques années. Le Pérou est devenu le premier exportateur d’or d’Amérique Latine. Il attire les convoitises bien au-delà du continent lui-même.
Aux exploitations artisanales de bois (acajou), des élevages intensifs, de pétrole s’ajoutent dorénavant celles de l’or et des mines clandestines. Les populations indiennes locales font face à la barbarie de ces colons. Des assassinats et des disparitions ont été constatés. De nouvelles maladies se développent et un réseaude prostitution de jeunes indiennes s’est fixé pour répondre aux besoins des pilleurs de la forêt. Cette situation a été facilitée grâce à la vente par l’Etat péruvien  de 70 % de la forêt à des compagnies pétrolières.

Des conséquences néfastes pour l’écosystème

Outre les agissements indéfinissables des colons envers la population locale, l’environnement est l’autre grande victime des orpailleurs. La fièvre de l’or a engendré une augmentation de plus de 400 % de la déforestation dans la région Madre de Dios entre 1999 et 2012. Depuis 2008, on estime à plus de 6000 le nombre d’hectares de forêt détruits à cause des mines clandestines au Pérou.
L’accroissement de la déforestation pourrait aboutir à  « un désastre écologique » d’après les mots du ministre de l’environnement Antonio Brack. Les mineurs amateurs ne connaissent pas les nouvelles techniques d’exploitation et utilisent de vieilles méthodes comme celle de l’amalgamation au mercure pour séparer l’or (les deux métaux sont chauffés, le mercure s’évapore, il ne reste plus que l’or). Cette technique a de graves conséquences écologiques, les sédiments se déversent dans les fleuves ; la pollution au mercure y est très forte.
Le déboisement intensif de la forêt  provoque  une augmentation des émissions de Gaz à effet de serre. La captation photosynthétique est aussi moins importante. Enfin, des espèces rares d’animaux sont en danger à mesure que leur habitat naturel disparaît. Dernièrement, l’ONG vérité a démontré que l’exploitation de l’or au Pérou était si importante qu’elle dépasse celle de la drogue.

Une étude américaine a révélé que la crise économique de 2008 a entraîné une nouvelle ruée vers l’OR au Pérou dont la principale victime demeure la si précieuse forêt amazonienne. 
Révélée par le quotidien anglais The Guardianune étude américaine réalisée par la Carnegie Institution for Science a  tiré la sonnette d’alarme sur l’accroissement de déforestation en Amazonie péruvienne.  La région de la Madre de Dios, située dans le sud-est du pays à la frontière avec le Brésil, est la plus touchée par ce fléau.
Les mines clandestines sont responsables d'une recrudescence de la déforestation en Amazonie péruvienne ©Andrés Huby
Les mines clandestines sont responsables d’une recrudescence de la déforestation en Amazonie péruvienne ©Andrés Huby
La crise économique de 2008 et ses effets continus en seraient la principale cause. L’Amérique Latine n’a pourtant pas souffert de la même façon que les pays industrialisés. Au début de la crise, les économies sud-américaines ont fait preuve d’une bonne résistance malgré une baisse de la croissance dans les pays (à l’époque, c’était une première en 5 ans). Le Pérou s’est rapidement relevé, il fait figure à présent de bon élève aux yeux du FMI, fort d’une croissance moyenne de 7 % ces cinq dernières années.
La cause de la déforestation vient plus précisément du marché de l’or qui n’a cessé d’augmenter jusqu’à 2013. En cinq ans, son cours a atteint des sommets (1900 dollars en septembre 2012). L’Or devient une des rares valeurs sûres en temps de crise ; une aubaine pour les orpailleurs avides d’argent. Dès lors, l’exploitation minière illégale de petite échelle explose dans la région de la Madre de Dios. La crise a amplifié le nombre d’orpailleurs de 25 000 à 100 000 en quelques années. Le Pérou est devenu le premier exportateur d’or d’Amérique Latine. Il attire les convoitises bien au-delà du continent lui-même.
Aux exploitations artisanales de bois (acajou), des élevages intensifs, de pétrole s’ajoutent dorénavant celles de l’or et des mines clandestines. Les populations indiennes locales font face à la barbarie de ces colons. Des assassinats et des disparitions ont été constatés. De nouvelles maladies se développent et un réseaude prostitution de jeunes indiennes s’est fixé pour répondre aux besoins des pilleurs de la forêt. Cette situation a été facilitée grâce à la vente par l’Etat péruvien  de 70 % de la forêt à des compagnies pétrolières.

Des conséquences néfastes pour l’écosystème

Outre les agissements indéfinissables des colons envers la population locale, l’environnement est l’autre grande victime des orpailleurs. La fièvre de l’or a engendré une augmentation de plus de 400 % de la déforestation dans la région Madre de Dios entre 1999 et 2012. Depuis 2008, on estime à plus de 6000 le nombre d’hectares de forêt détruits à cause des mines clandestines au Pérou.
L’accroissement de la déforestation pourrait aboutir à  « un désastre écologique » d’après les mots du ministre de l’environnement Antonio Brack. Les mineurs amateurs ne connaissent pas les nouvelles techniques d’exploitation et utilisent de vieilles méthodes comme celle de l’amalgamation au mercure pour séparer l’or (les deux métaux sont chauffés, le mercure s’évapore, il ne reste plus que l’or). Cette technique a de graves conséquences écologiques, les sédiments se déversent dans les fleuves ; la pollution au mercure y est très forte.
Le déboisement intensif de la forêt  provoque  une augmentation des émissions de Gaz à effet de serre. La captation photosynthétique est aussi moins importante. Enfin, des espèces rares d’animaux sont en danger à mesure que leur habitat naturel disparaît. Dernièrement, l’ONG vérité a démontré que l’exploitation de l’or au Pérou était si importante qu’elle dépasse celle de la drogue.

Expulsions de Sans-papiers à Bruselles



CONVERSACIONES EN LA

CAPILLA ARDIENTE

Victor Raul Gamarra Sotomayor
http://viraugasot.blogspot.com

Drôle de façon d'envisager la gouvernance d'une commune


Les expulsions de Sans-papiers et Sans-abri sont, paraît-il, dans l’air du temps. Et lorsqu'un bourgmestre issu de l'immigration a recours à une pratique aussi sordide, tout en se proclamant "socialiste", il y a de quoi s'indigner et s'interroger. Où sont passées les valeurs prônées par les fondateurs de ce parti de gauche? Violemment écartées du débat, étouffées par les impératifs des idées en vogue du moment et les dictats de l'actualité, elles semblent avoir été noyées dans la honte.

L'ordre d'expulsion fait ainsi abstraction de façon flagrante de la situation socioéconomique désespérée de familles entières. On n'y trouve ni considération ni respect du droit de vivre dans la décence et la dignité qui est celui de chaque être humain.
Monsieur le bourgmestre n'a jamais levé le petit doigt pour améliorer les conditions d'existence des Sans-papiers et des Sans-abri de l'église du Gesu,actuellement insalubre. Il a ensuite le culot d'invoquer cette misère sanitaire pour justifier l'expulsion.
Il a également fait preuve de mauvaise foi et de grossierté en généralisant un cas isolé pour évoquer la prostitution à laquelle se livreraient les occupants de l'église. Cette attitude témoigne d'une grande inconscience et d'un évident amateurisme politique.

En outre, le silence du bourgmestre et son refus systématique du dialogue témoigne de sa volonté d'agir de façon unilatérale et autoritaire.

Pour toutes ces raisons, l'expulsion des occupants de l'église de Gezu est injuste et moralement inacceptable.
Monsieur Kir, sachez que vous n’êtes pas un Emir tout puissant ayant le droit de légiférer sans dialogue ni concertation. Le moment est venu pour vous de changer de comportement. Les Sans-papiers, les Sans-abri et le sens commun vous seront très reconnaissants, ainsi que de nombreux socialistes de votre parti


sábado, 26 de octubre de 2013

Espionaje sin espias

CONVERSACIONES EN LA
CAPILLA ARDIENTE

Victor Raul Gamarra Sotomayor


El escándalo que ha provocado la revelación de las actividades secretas de la NSA nos impone una reflexión o más bien varias reflexiones sobre los alcances y consecuencias de este hecho.

Sin duda, las indignaciones y la reacción de un buen número de dirigentes europeos espiados por sus aliados americanos, comenzando por el canciller alemán, Angela Merkel, no ha sido otra cosa que la teatralización de una protesta destinada a guardar las formas. En Europa, todo el mundo espía. Ese viejo deporte ha sido inscrito en las primeras páginas de la antigüedad y, desde entonces, las guerras y las alianzas han sido precedidas de una intensa actividad de espionaje, cada vez más sofisticada, al punto que la tecnología de hoy a casi liquidado a los agentes secretos de carne y hueso, obligándolos a colgar, definitivamente, sus impermeables, sombreros y lentes obscuros.

El espionaje americano que ha logrado penetrar en la intimidad de millones de personas (70 millones de comunicaciones interceptadas en un mes, entre diciembre y enero) es, en realidad, la punta de lanza de un proyecto universal destinado a controlar, tecnológicamente, a todos los seres humanos de la tierra, con el propósito de vigilar su relativa libertad y explotar sus hábitos de consumo para encuadrarlos dentro de una estrategia de explotación económica, “racional y eficaz”.

La estructura de este sistema tiene sus pilares en el plano político, a todas las instituciones dedicadas a la recolección de informaciones, como la NSA, el FBI y la CIA. 

Esas son las cabezas visibles de la enorme red de servicios especializados de información, sustentados y dirigidos por la Casa Blanca.

En el plano social y comercial, Google et Facebook, más una gran cantidad de sociedades similares, son las entidades que se ocupan de recolectar la informaciones personales, desde las más inocentes hasta las más íntimas o secretas.
Los usuarios de esos motores de búsqueda son los proveedores fundamentales de la información que colecta la CIA, facilitando de esa manera su trabajo, a partir de la exposición gratuita  de sus datos personales.


El mundo entrará, en muy poco tiempo, en la era del súper espionaje a escala universal. La información recolectada, permite ya, en la actualidad, construir productos adaptados a la personalidad de cada cual. En el futuro, el internet de los objetos inteligentes, dotados de la capacidad de rebuscar hábitos y costumbres personales, permitirá un   enriquecimiento exponencial, transformado así el marketing, tal como lo conocemos, en una actividad fósil. Nosotros somos, en suma, los productores de la información que genera la riqueza de otros y, por lo tanto, la consolidación de la dominación y de la explotación. Dentro de este contexto ¿cómo no relativizar y considerar como un hecho menos importante el espionaje entre Estados, que la sistematización tecnológica de la información del ciudadano, al servicio de los grandes capitales industriales y financieros?

jueves, 17 de octubre de 2013

Journée de la pauvreté.

conversaciones
en la capilla 
ardiente


Victor Raul Gamarra Sotomayor
http://viraugassot.blogspot.com

Il est temps d’entendre ces Belges qui souffrent de la crise au quotidien

17 octobre 2013  | Depuis le début de la crise en 2008, la journée internationale pour l’élimination de la pauvreté est l’occasion de malheureusement constater d’année en année l’explosion des indicateurs sociaux en Belgique. Face à ces constats, Ecolo appelle à une véritable politique globale de lutte contre la pauvreté au niveau fédéral. On ne peut se contenter d’actions gadgets et cache-misère, ces Belges qui souffrent de la pauvreté au quotidien ont besoin de politiques à la mesure des efforts accomplis pour réduire le déficit public. Des solutions existent pour garantir un niveau de vie décent à chacun. Face à la situation sociale actuelle, il est impératif de les mettre en œuvre.
Les indicateurs sociaux sont alarmants :
- 15,3% de la population belge vit sous le seuil de pauvreté contre 14,7% en 2008 ;
- près d’un enfant sur cinq est en risque de pauvreté ;
- le nombre de bénéficiaires du revenu d’intégration sociale a crû de 14% depuis 2008 ;
- 30,1% de la population éprouve des difficultés à couvrir ses dépenses de logement ;
- 5,1% de la population belge vit dans un ménage dont un des membres a dû reporter ou annuler des soins de santé au cours de l’année écoulée pour des raisons financières (contre 2,7% en 2008) ;
- environ 660.000 travailleuses et travailleurs sont sans emploi….
Devant ces constats, la Secrétaire d’Etat à la pauvreté multiplie les actions symboliques depuis son arrivée au gouvernement : ruban blanc aux fenêtres, manuel pédagogique envoyé aux écoles… tandis que d’autres mesures fédérales assombrissent le tableau : dégressivité des allocations chômage, limitation dans le temps des allocations d’insertion, diminution de l’enveloppe bien être….
Ca suffit. Il est temps de voir les choses en face et d’enfin porter les réformes nécessaires pour garantir le bien être de chaque belge, à savoir notamment :
- le relèvement des allocations sociales minimales au seuil de pauvreté ;
- l’individualisation des droits sociaux ;
- le relèvement du salaire minimum ;
- un soutien fédéral aux travaux qui permettent aux familles d’économiser l’énergie.
Les communicateurs de la Belgique joyeuse doivent aussi entendre ce cris des Belges qui s’enfoncent chaque jour un peu plus dans la crise et la précarité. Il est temps d’agir.

viernes, 11 de octubre de 2013

Delon...de loin!


CONVERSACIONES 

EN LA CAPILLA

ARDIENTE

Victor Raul Gamarra Sotomayor
http//:viraugasot.blogspot.com


Delon...de loin!

Jamais de ma vie, je ne me suis intéressé aux opinions politiques d'Alain Delon. Mais dernièrement, j'ai été révulsé par l'arrogance avec laquelle il a affiché sa proximité avec les idées du FN, pour leur côté "patriotique et moral". Comment ose-t-il parler de morale, lui qui s'est comporté de façon indigne avec sa mère et avec son fils Christian Aaron, qu'il persiste à ne pas vouloir reconnaître? Où est la décence, quand un homme reproche à sa mère de vouloir élever l'enfant qu'il a choisi d'abandonner? Et où est la bienséance quand ce même homme s'arroge le droit de parler de morale?


PAIX VIRTUELLE


CONVERSACIONES 

EN LA 

CAPILLA ARDIENTE 

Victor Raul Gamarra Sotomayor
http//:viraugasot.blopsot.con


PAIX VIRTUELLE 



Une fois de plus, le comité Nobel a décidé de récompenser des intentions plutôt que des actions et de mettre à l'honneur une réalisation purement virtuelle en faveur de la Paix. 

Les impératifs politiques du moment ont pris le pas sur la réflexion, l'analyse et le respect de ceux qui croient encore à l'importance du célèbre Prix, de moins en moins prestigieux. 

Pour dégoûter définitivement ceux qui n'y croyaient plus qu'à moitié, le fameux comité a cette année préféré s'abstenir de soutenir des combats universels, à portée planétaire, comme par exemple celui mené pour défendre les droits des homosexuels, actuellement bafoués et dangereusement menacés, en Russie et ailleurs...

martes, 8 de octubre de 2013

Indemnités Indemnes...



CONVERSACIONES EN LA CAPILLA ARDIENTE


Victor Raul Gamarra Sotomayor

Indemnités indemnes....

Après avoir annoncé qu'elle renonçait à ses indemnités de sortie, l'ancienne députée socialiste a donc changé d'avis. Elle préfère finalement empocher la somme "pour aider des associations et des personnes, à titre privé, qui en avaient besoin".
Que penser de ce revirement? Doit-on y voir une nouvelle façon de privatiser l'aide sociale? Cette manière de procéder ne comporte-t-elle pas un risque de clientélisme? Certaines mauvaises langues pourraient reconnaître dans cette approche le fumet typique de la cuisine socialiste...
Personnellement, je pense contrairement à Sarah Turine, que le but d'une telle méthode est de socialiser l'imposture pour mieux privatiser le portefeuille.
En outre, s'il fallait toujours dire la vérité aux clients, le commerce s'écroulerait... bien évidemment!

lunes, 7 de octubre de 2013

Mensaje a Magaly Solier






CONVERSACIONES 

EN LA CAPILLA 

ARDIENTE





victor Raul Gamarra Sotomayor





Mensaje a Magaly Solier

Es un poco tarde. Aquí son las dos de la mañana y me muero de sueño. Sin embargo, la última ojeada a las novedades en el Perú,  me afligen. Ese país,  todavía sigue siendo mi patria pero a veces me da verguenza de ello, como hoy, cuando me informo de las canalladas de algunos de mis compatriotas, certeramente descerebrados y masivamente prehistóricos, si, tengo vergüenza de ser peruano.
Vergüenza, cuando la infame mediocridad se permite insultar a una mujer como usted, Magaly Solier. Esa gente no tiene, enteramente, el estatuto de racistas, porque ello implicaría disponer de una convicción intelectual, vomitiva, es cierto, pero sólida. 
Por otro lado, como pueden haber racistas contra sí mismos porque hasta una nueva información, los peruanos inmensamente mayoritarios, somos aquellos a quienes el poncho y el chullo se confunden generosamente con nuestros ancestros, por lo que el orgullo nuestro es grande, sereno y certero.  
En el Peru y en el extranjero. 
Perdonelos Magaly. !Somos innumerables los que la admiramos de todo corazón!
Muy buenas noches!












sábado, 5 de octubre de 2013

Tanto nadar para morir ahogado en la orilla

CONVERSACIONES 
EN LA CAPILLA ARDIENTE
Victor Raul Gamarra Sotomayor
http://viraugasot.blogspot.com



Tanto nadar para morir ahogado en la orilla

Es Europa, un acantilado jaujeño donde la abundancia redime a los desposeídos? 

Por qué,  la  creciente palidez de la vieja Europa  continua a despertar la loca ilusión de querer abordarla?

Por qué abordarla a toda costa y por todos los medios posibles, incluyendo aquellas endémicas chalupas que naufragan bajo un ligero soplo de viento, en medio del océano proceloso que arrastra con ellas, los sueños milenarios de centenares de personas que se obstinan en descubrir, ese falso: El Dorado de paz y prosperidad?

Cuantos son aquellos hombres, mujeres y niños que incursionan en esa aventura desesperada de atravesar el mediterráneo y que cada año los conduce a la muerte segura, truncando así sus esperanzas legítimas de aspirar a una vida mejor?

El naufragio de este último jueves, a costado la vida a 300 inmigrantes. Los naufragios no solo se producen sobre las playas de la pequeña ciudad de Lampeduza, en Italia, sino, por todos lados: En las costas turcas murieron ahogadas 24 personas. 21 en Lesbos (Grecia). 90 africanos en España y aun mas de 200 inmigrantes, en Túnez.  

Frente a este resumen aritméticamente macabro, que la Organización Mundial para la Inmigración, estima en 17OO las muertes producidas en el mediterráneo, durante el 2012, las autoridades europeas reaccionan de manera opuesta a las consideraciones y principios de orden humano que se imponen. Las primeras reacciones oficiales, hacen abstracción de las verdaderas razones que provocan este fenómeno incontrolable de la explosión de la miseria. Miseria que toca principalmente a los países africanos los más pobres del mundo, a donde el solo hecho de existir constituye un acto de desafío a la muerte progresiva, esa muerte lenta que les anuncia el estrecho  porvenir, dentro de sus respectivos países. 

Esas condiciones de vida sometidas y dependientes de una repartición injusta de la riqueza universal, han propiciado la ascensión fulgurante de las economías europeas. Los largos periodos de explotación colonial, han contribuido a incrementar la soberbia opulencia  de la que aún disponen y, aunque la crisis económica por la que atraviesa todo ese continente, asume contornos dramáticos, sobre todo para sus sectores sociales más desfavorecidos, la dinámica lógica del capitalismo contemporáneo, continua a desposeer a los más pobres para enriquecer a los más ricos.

Es por ello que las primeras declaraciones frente al drama del naufragio de Lampeduza, los burócratas de la Comisión Europea lanzan gritos desesperados para comunitarizar la política de inmigración y de asilo, a fin de mutualizar entre todos los países europeos, los medios y las informaciones de que disponen para mejor controlar la clandestinidad. 

Un control que  se  efectuará a partir de barcos y patrulleros policiales especiales, que serán, verdaderas fronteras flotantes de la represión marítima . Por otro lado, el Parlamento Europeo adoptará, en breve, el Reglamento denominado "Eurosur" que reforzará, a partir del mes de diciembre, la vigilancia náutica  la más estricta. La idea es de reagrupar todas las informaciones actualmente fragmentadas y dispersas entre los países europeos, y, concentrarlas sobre un écran común, a fin de verificar y ubicar las embarcaciones clandestinas que surcan el Mediterráneo y el Mar Negro. Ese reglamento prevé la utilización de satélites, asi que de "drones" de vigilancia para contrarrestar, de un sólido golpe, las inmigraciones que ellos denominan "salvajes" y que la disfrazan púdicamente como una medida de "prevención contra los dramas humanos en alta mar".  

Esa es la respuesta europea a un terrible problema de la humanidad, es decir, acentuar los mecanismos informatizados de represión, los más evolucionados, al mismo tiempo que, se vendan los ojos para no ver lo esencial. 

Para muestra, una caricatura que circula en internet y que contiene elementos inaceptables de un humor negro de mal gusto.


Cuando el humor negro se vuelve oscuro y muy poco original, acaso se trata de un racismo disfrazado?